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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome II, 1853.djvu/276

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Le Bas-Breton, fidèle à son orgueil patriotique, ne voulait pas laisser paraître l’étonnement profond, ou plutôt encore, la stupéfaction véritable que lui faisait éprouver le spectacle si nouveau pour lui de la grande ville.

C’eût été reconnaître jusqu’à un certain point la suprématie de la France sur la Bretagne.

Quant à de Morvan, à peine eut-il mis pied à terre, que son premier soin fut de s’informer où se trouvait situé l’hôtel d’Harcourt.