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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome II, 1853.djvu/29

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que les écus ne sortiront pas de ma poche.

— Cela ne me regarde pas, c’est ton affaire ! Arrange-toi comme tu voudras.

— Dans deux heures ce cher Bijou sera ici ! s’écria Alain qui, retirant ses sabots, partit aussitôt en courant.

En effet, le temps demandé par le Bas-Breton pour accomplir son expédition n’était pas encore écoulé que déjà il était de retour ; Bijou l’accompagnait.