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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome II, 1853.djvu/328

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sur un plateau un déjeûner fort convenable.

— Eh bien ! mon maître, reprit Alain en dévorant d’un regard sensuel et curieux les mets placés devant lui, mets qu’il voyait pour la première fois, eh bien ! mon maître, votre appétit dort-il toujours ? Ces ragoûts sentent vraiment une assez bonne odeur. Après tout, ce n’est pas un si grand mérite que de savoir cuisiner ; faut bien aussi que les Français aient quelque chose pour eux… ils cuisinent bien… Voilà !

Le désappointement d’Alain fut grand