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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome II, 1853.djvu/334

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l’escalier de l’hôtel d’un air assuré, et son penbas à la main, il entra sans hésiter dans la rue.

Le Bas-Breton, en se vantant de rester indifférent aux curiosités de Paris, s’était beaucoup trop avancé ; à peine eut-il mis le pied dans la rue, qu’il fut pris par une espèce de vertige, et éprouva un étonnement tel qu’il dût s’appuyer contre une maison pour ne pas chanceler ; jamais le brave garçon n’avait rêvé rien qui approchât du spectacle qui frappait alors ses yeux.

Les brillants carrosses à six chevaux,