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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome II, 1853.djvu/46

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— Je vous demande bien pardon, mon maître ; mais je ne puis rien faire, vous me regardez.

— N’aurais-tu pas confiance en moi, drôle ?

— Oh ! mon bon Dieu du ciel ! comment osez-vous dire de pareilles choses ! s’écria Alain les larmes aux yeux, vous savez bien, monsieur le chevalier que si je possédais tout l’or de la chrétienté et même celui des Turcs, plus de dix mille livres, par exemple, je vous le remettrais les yeux fermés et sans vouloir passer d’écritures.