Aller au contenu

Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome II, 1853.djvu/65

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

l’employé, il le souleva de dessus son fauteuil, et le jetant avec une grande violence contre la muraille :

— Jour de Dieu ! s’écria-t-il, blême de colère, ce manant a péché, il va mourir.

Cette action s’était passée si rapidement que pas une des nombreuses personnes qui encombraient les bureaux n’avait songé à s’y opposer.

Ce fut seulement lorsque de Morvan porta la main à la garde de son épée