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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome II, 1853.djvu/92

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fut son domestique Alain occupé à étriller Bijou.

La vue de son maître parut causer une véritable joie au Bas-Breton qui, effrayé de la multiplicité des rues de Brest, et retenu par la crainte de se perdre, n’avait pas osé s’aventurer au dehors.

— Mon brave Alain, lui dit de Morvan avec une extrême bonté, car il savait pouvoir compter aveuglément sur le dévoûment de son domestique, et la pensée d’être aimé même par un pau-