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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome III, 1853.djvu/106

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en passant, qu’aujourd’hui est la première fois que j’entends prononcer votre nom — il paraît, monsieur le baron Legoff, que vous avez pour habitude de disposer, sans les consulter, de la volonté des gens.

— Le fait est, monsieur le comte, qu’en affaires — et j’en ai beaucoup — je suis d’une incroyable ténacité. Après tout, si je consultais les convenances de chacun, je n’en finirais jamais.

L’hôte de la petite maison de la rue de Béthisy, pendant que Mathurin pronon-