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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome III, 1853.djvu/156

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étonnement tel qu’il resta un moment sans savoir que répondre.

— Je dispose, monsieur, continua Legoff toujours avec le même sang-froid, de forces maritimes considérables ; la flotte que je commande, quoique privée d’administrateurs habiles, n’en est pas moins redoutée et redoutable ; elle pourrait sans trop de désavantage tenir tête à celle du roi…

— Ce d’Aubigné est impardonnable ! me faire recevoir un tel fou, murmura Pontchartrain, c’est dépasser toutes les