Aller au contenu

Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome III, 1853.djvu/158

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

— Retirez-vous donc, monsieur, vous m’importunez ! s’écria le secrétaire d’État, en se laissant aller à la violence de son caractère.

— Cette lettre est d’un de mes lieutenants, de Ducasse, continua tranquillement Mathurin.

— De Ducasse, répéta Pontchartrain qui prit vivement la lettre, en fit sauter le cachet et se mit à la parcourir avec une attention qui prouvait tout l’intérêt qu’il trouvait dans cette lecture.