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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome III, 1853.djvu/189

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— Vraiment ! s’écria-t-il d’un ton de bonne humeur aussi en dehors de ses habitudes que l’était la gaîté qu’il venait de montrer, je vois qu’il est impossible de vous accepter au sérieux ou de se fâcher de vos manières. Il y a au reste longtemps que je désirais voir un de ces fameux flibustiers dont on parle tant ; je dois remercier le hasard qui m’envoie en vous un des échantillons les plus curieux et les plus complets de la flibuste ! Vous êtes pour moi un sujet d’étude et de curiosité.

— Vous me faites beaucoup d’honneur, monseigneur.