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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome III, 1853.djvu/202

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jets, mais je sais les ajourner et attendre, monseigneur, dit Legoff. À présent, puisque vous voulez bien m’encourager et me prendre au sérieux, il me reste à vous entretenir d’une entreprise qui peut jeter plus décent millions dans les coffres vides de la France. Je me hâte d’ajouter que je parle en ce moment au nom de Ducasse, à qui mon amitié cédera volontiers l’honneur de la réussite de celle affaire. Quant à Ducasse, monseigneur, il s’agit pour lui du gain d’un million.

Legoff, en prononçant le nom de Ducasse, et en accolant ce nom au mot de