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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome III, 1853.djvu/218

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que la passion n’empiétait pas en l’obscurcissant sur sa raison, il savait juger et apprécier un homme à sa juste valeur.

Il comprit donc aisément, à la façon de s’exprimer de Legoff, que le célèbre boucanier n’exagérait en rien le pouvoir et les ressources dont il disposait ; qu’il était en position d’accomplir ses promesses, et que l’on devait compter sur sa parole.

Aussi, avant de lui répondre restait-il