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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome III, 1853.djvu/22

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cheurs d’aventures, ses vagabonds, ses mendiants, les soldats et les laquais en goguette, offrait à l’inexpérience du sauvage penmarkais de graves écueils, de véritables dangers.

Distrait par ses pensées et ahuri par les gens affairés ou turbulents, qui le coudoyaient, Alain ne remarqua pas tout d’abord le tableau animé et bizarre que présentait le Pont-Neuf.

Ce fut seulement après s’être témérairement engagé dans la foule qu’il cher-