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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome III, 1853.djvu/229

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— Soit ! je ne m’y oppose pas, dit Pontchartrain après un moment de réflexion. Je ne serai pas fâché de savoir si vous n’avez pas une trop bonne opinion de vous-même, et si vous parviendrez à franchir la barrière qui sépare un inconnu des marches du trône.

Legoff, en sortant de chez le secrétaire d’État, monta en carrosse et se fit conduire rue de Béthisy, chez le comte d’Aubigné.

Il trouva, en entrant, l’antichambre