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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome III, 1853.djvu/238

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— Dame, cher comte, je ne connais pas vos créanciers, moi.

— Vous n’êtes donc plus sorcier ! Quoi, vous ne songez pas que pour que l’on fasse crédit au beau-frère du cuistre, il faut que l’on espère, vu les mauvais bruits répandus sur mon compte par ma famille de Versailles, il faut, dis-je, que l’on espère un bénéfice de mille pour cent ! Mes fournisseurs sont d’infâmes spéculateurs qui prennent des billets de loterie sur ma chance au jeu.

— Alors, c’est pour leur adresser des