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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome III, 1853.djvu/259

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consentez à employer par pitié, au gré de vos caprices, mais que vous repousseriez avec colère le jour où son audace s’élèverait jusqu’à vous demander votre confiance.

— Vous êtes injuste, chevalier. Ma présence en ces lieux dit assez la confiance sans bornes que m’inspire votre loyauté.

— Belle confiance, mademoiselle, s’écria de Morvan avec amertume ; belle confiance, vraiment, qui prouve tout au