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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome III, 1853.djvu/27

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à prendre le dessus sur son étonnement, et il s’éloigna en murmurant :

— Ce Français-là a beau dire, il ne me prouvera jamais que les jambes faites par le bon Dieu ne valent pas ses morceaux, de bois taillés ! Tout cela c’est des menteries bonnes à attraper des niais !… Allons ailleurs !

Ailleurs, c’est à dire à dix pas plus loin, ce que le Bas-Breton entendit, était chose bien autrement extraordinaire que les discours de l’arracheur de dents et du mécanicien.