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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome III, 1853.djvu/34

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— Vous faites confusion sans doute, monsieur, répondit Alain tout décontenancé. Je ne connais personne à Paris, et ce ne peut être moi que votre maître envoie quérir.

— Je vous assure, monsieur, que je ne me trompe pas…

— Quel est-il, et que me veut-il, votre maître ?

— Mon maître est le plus grand savant de l’univers ; il désire, je crois, vous remettre une bourse pleine d’écus qu’il a