Aller au contenu

Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome III, 1853.djvu/51

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

un bourgeois, courant après lui, l’arrêta par la manche de sa veste.

— Eh ! l’ami, lui dit-il, deux mots, s’il vous plaît. Si vous con sentez à m’apprendre le tour que vous venez de jouer, je vous donnerai un écu. Je veux épouvanter ma femme faisant semblant de bâtonner mes deux apprentis et de tout casser dans la boutique… Ça sera joliment drôle.

— Je ne vous comprends pas, dit Alain, se tenant sur ses gardes, car il se figurait avoir affaire à un nouveau mystificateur.