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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome III, 1853.djvu/55

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ner avec moi aujourd’hui, vous me ferez plaisir !

Cette proposition — l’homme n’est pas parfait et a toujours son côté faible et vulnérable — cette proposition, dis-je, résonna agréablement aux oreilles du Bas-Breton.

— Je veux bien dîner avec vous — répondit-il — mais à la condition que je ne paierai pas ma part.

— C’est bien ainsi que je l’entends. Je suis sorti ce matin pour opérer des re-