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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome III, 1853.djvu/90

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et après une légère pause, si je n’ai pas cru que c’était vous qui m’adressiez ce Buhot, eh bien ! faites-moi mourir à l’instant !… »

Le Bas-Breton, après avoir émis ce terrible vœu, s’arrêta tout interdit.

Voyant qu’il ne tombait pas foudroyé, il se releva joyeux et en murmurant :

— Je savais bien, moi, que j’obéissais aux ordres de ma bonne Dame ! Que j’ai donc eu tort de me désoler toute la nuit.