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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Montbars l'exterminateur), Tome V, 1853.djvu/146

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il suivi l’officier, qu’il sortit de la ruelle du lit où il s’était tenu caché.

— Ah ! ma bonne Sainte-Anne-d’Auray, s’écria-t-il avec ferveur, donnez-moi l’intelligence nécessaire pour accomplir les ordres de M. le chevalier !

Alain, les yeux pleins de larmes, retira alors les neuf mille livres environ en or, qui se trouvaient dans le coffre de son maître.

Toutefois, quelque sincère et profonde que fût la douleur du Bas-Breton, un