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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Montbars l'exterminateur), Tome V, 1853.djvu/237

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tre contenant toutes les indications nécessaires à ta vengeance… Si je suis tué, ce que je ne crois pas, tu ouvriras cette lettre ; sinon tu me la rendras.

— C’est bien, mon oncle ; j’obéirai.

Le reste de la journée passa, pour les deux prisonniers, rapide comme une heure.

De Morvan ne cessait d’interroger son oncle, et le boucanier parlait de son frère !