Page:Duplessis - Les Boucaniers (Montbars l'exterminateur), Tome VI, 1853.djvu/316

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homme, puis lui adressant un doux sourire, elle s’éloigna sans ajouter une parole.

De Morvan s’attendait à des adieux plus touchans ; il fut presque froissé du courage que venait de montrer Jeanne.

Longtemps il suivit d’un regard attendri la charmante enfant, espérant qu’elle se retournerait, mais il fut déçu dans son attente.

Quatre jours plus tard de Morvan abordait, en compagnie de Laurent et d’A-