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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Montbars l'exterminateur), Tome VI, 1853.djvu/50

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saient le contempler avec une admiration sans bornes. Tenez, mauricauds, voilà pour de l’arack, ajouta-t-il, et il leur jeta une poignée d’or.

— Vive messié lé beau Laurent ! s’écrièrent les nègres avec un enthousiasme parfaitement justifié par cette magnifique aumône.

— Au même instant, une fenêtre s’ouvrit, et un bouquet de fleurs tropicales roula aux pieds du grand jeune homme.

— Ces fleurs sont brillantes, mais el-