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Page:Duru et Chivot, Madame Favart.djvu/79

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FAVART.
––––––Vous vous trompez, ce n’est pas moi ;
––––––Ce qui les fit venir, je croi,
–––––––C’est ma petite sonnette,
–––––––Ma sonnette mignonnette.
TOUS.
––––––––––C’est la sonnette !
REPRISE DE L’ENSEMBLE.
FAVART.
––––––Je vous le dis et c’est certain,
––––––––––––––––––Etc.
PONTSABLÉ.
––––––Si ce qu’il me dit est certain,
––––––––––––––––––Etc.
MADAME FAVART.
––––––Il a raison et c’est certain,
––––––––––––––––––Etc.
LES MARMITONS.
––––––Nous devons être, c’est certain,
––––––––––––––––––Etc.
LES TAPISSIERS.
–––––––––––Pan ! pan ! pan !
––––––––––––––––––Etc., etc.
PONTSABLÉ, hors de lui, arrachant la sonnette des mains de Favart.

Allez-vous-en !… Par la sambleu !… ventrebleu ! Allez-vous-en !…

Les tapissiers se sauvent par le fond.


Scène XI

PONTSABLÉ, MADAME FAVART, FAVART.
PONTSABLÉ.

C’est inouï !… Ça n’a pas de nom !… impossible de faire ma déclaration au milieu d’un pareil tohu-bohu !…