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Page:Eliot - Daniel Deronda vol 2&3.djvu/143

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Du reste, Mirah n’allait-elle pas y demeurer aussi ? Quel ameublement pourrait donner à une chambre le charme d’un délicieux visage de femme ? Existe-t-il une harmonie de teintes qui puissent causer autant de plaisir que les douces modulations de sa voix ? — Ceci au moins, pensa Deronda, sera le bonheur qui résultera pour Mordecai ; il n’aura pas en vain fixé son imagination sur moi. Il a retrouvé une sœur parfaite dont l’affection veillera sur lui.