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Page:Essai sur la régénération physique, morale et politique des Juifs.djvu/234

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l’évangile, ménager les foibles ; mais doit-on des ménagemens aux méchans et aux sots ? Malades qui avez la jaunisse, verrez-vous toujours jaune ? Comme vous êtes, à cinq ou six cents ans en arriere de vos contemporains, je vous répondrai quelque jour dans mon épitre aux gens du douzieme siecle ; nous y parlerons de personnages qui valoient mieux que vous et moi ; des liaisons de Bossuet avec Bullus, Claude et Burnet ; d’Érasme avec les prétendus réformateurs ; de St. Basile avec un médecin juif ; de St. Jérôme, obligé de se justifier sur ses relations familieres avec les Hébreux, et répondant avec autant de raison que de véhémence, pour faire l’éloge de son maître Barabanus, &c. &c. &c.


CHAPITRE XX.


(1) Journal de Luxembourg. 1784, Septembre. Pag. 142.


CHAPITRE XXI.


(1) Institutions politiques. Par le Baron de Bielfeld, seconde partie.

(2) Spectateur anglois. T. 5, pag. 442 et suiv. Paris. 1756.

(3) V. à ce sujet un plaidoyer de M. Lacretelle fils. (Bruxelles 1775), en faveur de deux Juifs qui avoient levé des brevets pour le corps des Marchands de Thionville. Ce morceau, écrit avec chaleur, annonce justesse dans l’esprit et sensibilité dans le cœur.

(4) Il est toujours nouveau, ce vieux proverbe : qui trop embrasse, mal étreint. On attribue à la cupidité des Juifs insatiables, le dépérissement des manufactures de