l’orbe et les rayons de Hèlios ! Mais j’irai, et j’annoncerai ta venue ; car, tous ne sont point tellement bienveillants pour leurs maîtres, qu’ils s’approchent volontiers d’eux dans le malheur. Mais toi, tu es un vieil ami pour mes maîtres.
Ô Zeus ! Quelle issue à ces maux ? Quel remède à la calamité qui accable nos maîtres ?
Quelqu’un sort-il ? Couperai-je ma chevelure, et revêtirai-je les noirs vêtements ?
Certes, la chose est manifeste, amis ! Cependant, supplions les Dieux ! la puissance des Dieux est très grande.
Ô Roi Paian ! trouve quelque remède aux maux d’Admètos ! secours-le, secours-le ! En effet, déjà tu l’as secouru. Et, maintenant, sois celui qui délivre de la mort, repousse le tueur Aidès !
Ah ! ah ! hélas ! Ô fils de Phérès, combien tu souffres, privé de ta femme !