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Page:Féval - La Bande Cadet, 1875, Tome II.djvu/274

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XXIV

La route de la rivière


Les choses ne devaient point se passer tout à fait selon le programme ainsi réglé par Mlle Lirette.

Échalot avait coutume de trouver son déjeuner servi à son réveil : une soupe où vous auriez péché des oignons quand même le dernier oignon eût disparu de l’univers.

Mais aujourd’hui, en l’absence de Lirette, personne ne s’était occupé de la soupe.