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Page:Féval - Les Habits noirs, 1863, Tome II.djvu/437

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— Laferrière n’a plus que douze ans… il retourne au catéchisme.

— Étienne ! s’écria Savinien Larcin en réponse à une question indiscrète, quel Étienne ? Connais pas cet oiseau-là.

— Si la censure avait voulu laisser un peu de liberté, professait Alfred d’Arthur au milieu des complimenteurs, la maison Schwartz aurait bien acheté le manuscrit deux ou trois cent mille francs. Attendons le réveil du peuple !

— Envoyez-moi la brochure, dit le critique sérieux à Savinien. J’ai noté çà et là quelques tournures de phrases qu’on ne trouve pas dans Laharpe. À propos, comment vous excuser auprès du public d’avoir escamoté le fameux secret des Habits-Noirs ?

— En annonçant notre prochain drame qui contiendra le mot de l’énigme.

— Quel titre ?

Le Secret de la Camorra ou Fra-Diavolo au couvent de la Merci. »

FIN.