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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 04.djvu/113

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sous le bronze de sa peau. Ce n’était pas un dogue qui avait aboyé. On lui signalait un danger, et ce danger était d’autant plus redoutable pour lui qu’il n’en pouvait reconnaître l’espèce.

Il se souleva de nouveau, et son œil, minutieusement investigateur, interrogea chaque point des alentours de la barque.

Aucun objet suspect ne frappa ses regards.

— Dieu me damne ! grommela-t-il avec une sérieuse inquiétude, — les marins parlent d’un certain Voltigeur hollandais, qui est un fantôme de vaisseau et qui vous prend une frégate à l’abordage sans qu’on voie sa carcasse ni sa mâture… Y aurait-il quelque part