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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 04.djvu/139

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quis, trois superbes salons, séparés seulement par des portes battantes, s’alignaient sur Belgrave-Square. Derrière les salons, une série d’appartements d’apparat régnait au dessus des cuisines et touchait aux écuries, vastes constructions donnant sur Belgrave-Street. Au premier étage se trouvaient les appartements privés du marquis. On parlait bien vaguement de leur féerique élégance, mais personne ne pouvait fournir là-dessus des détails fort précis, puisque, à Londres, l’œil du visiteur s’arrête au mur du salon comme devant une infranchissable barrière. Les amis seuls, et nous parlons de ces amis dont une longue intimité a fait des frères, peuvent pénétrer parfois au delà.