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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 04.djvu/141

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qu’il devait sembler impossible pour lui de trouver le temps nécessaire à de graves travaux. Il brillait trop et trop constamment au dehors, pour avoir le loisir d’agir derrière la toile.

Ce n’est pas un métier de fainéant que le métier de lion. Il faut trôner du matin au soir et tenir ferme le sceptre de peur qu’une des mille mains gantée de frais, qui applaudissent sous le pavois, ne le ramasse à son profit. Le fashion ressemble à ces diètes de la vieille Pologne où le plus mince gentilhomme avait son vote et son sabre au côté pour soutenir son vote. Chaque gentleman sachant nouer comme il faut une cravate, connaissant le turf, n’ignorant pas le ring, et susceptible