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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 04.djvu/15

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dans la maison de sa tante, sous la haute protection de son cousin Stephen Mac-Nab.

— Clary ! dit-elle enfin à voix basse et sans découvrir son visage.

Clary tourna vers elle son regard triste, mais calme.

— N’as-tu point peur ? reprit Anna ; — que cette chambre est sombre et froide, ma sœur !… Il doit être tard… Et cet homme, maintenant que j’y pense, — oh ! tu avais raison, Clary ! — cet homme qui nous a amenées ne ressemble pas au bon Duncan de Leed !

— Tu le reconnaissais si bien ! dit Clary en souriant.