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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 04.djvu/159

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Est-ce tout ? interrompit le marquis.

— Ce n’est pas tout, milord. J’avais à vous parler de cette jeune juive, Susannah.

— Susannah ! interrompit encore le marquis, mais cette fois avec douceur et comme si ce nom eût chatouillé agréablement son oreille.

L’aveugle ne put retenir un sourire qu’il fit disparaître bientôt, comme s’il eût deviné le hautain regard que lui lança Rio-Santo.

— Parlez, reprit ce dernier en se jetant avec fatigue sur l’ottomane.

Tyrrel demeura debout et poursuivit :