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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 04.djvu/162

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lord… Je dirais d’un amour sublime, si je ne détestais les grands mots que les poètes ont rendus ridicules.

— Vous êtes sévère, sir Edmund, — et ce Brian est bien heureux !

L’aveugle réprima un sourire, et Rio-Santo reprit après quelques secondes de silence :

— Le moment approche, sir Edmund, où tous ceux qui m’auront servi seront récompensés au delà de leur espoir et à l’abri de toute inquiétude… Veillez sur Susannah, car il est vrai qu’une indiscrétion pourrait, sinon tout perdre, du moins remettre le succès en question, mais ne la séparez point de Brian…