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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 04.djvu/178

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leurs si elle ne soulèvera point quelqu’une des répugnances généreuses qui peuvent nous étonner parfois, mais que nous n’avons pas le droit de combattre, — à ce qu’il paraît.

— Expliquez-vous et dépêchez ! dit Rio-Santo.

— Toute maladie a son antidote, milord ; la nature est complète : la science seule est insuffisante et bornée… Il faut expérimenter. Or, expérimenter sur miss Trévor…

— Gardez-vous en bien ! s’écria vivement le marquis.

— Je suis heureux de voir que vous devancez ma pensée, milord : reste à expérimenter