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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 04.djvu/198

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tout d’un coup le secret de cet homme, qui, soulevant un coin du mystère qui l’entourait, venait de se montrer à lui sous un jour si étrange.

— M’est-il permis d’adresser une question à Votre Seigneurie ? lui demanda-t-il enfin.

— D’ordinaire, répondit Rio-Santo en souriant, Votre Grâce me questionne sans savoir si tel est mon bon plaisir… Faites, milord, je vous prie.

Tolstoï rougit, et ses petits yeux gris se baissèrent en même temps que la ligne de ses épais sourcils.

— Ceci est un reproche, dit-il, et je ne sais en vérité si je dois me permettre…