Aller au contenu

Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 04.djvu/22

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


— Ma foi, Baby, je suppose…

— Ne vous ai-je pas supplié de vous taire ! s’écria l’avenante hôtesse ; pour Dieu ! épargnez-moi donc un peu… Ah ! si j’avais un autre mari !… mais ce qui est fait est fait !

Cela était fait depuis une vingtaine d’années.

Master Gruff baissa timidement son terrible regard et n’osa plus risquer la moindre parole. Sa femme le contempla durant une minute avec un souverain mépris ; puis, fatiguée sans doute de n’avoir point à qui parler, elle remonta tout doucement l’escalier qui conduisait à la chambre des deux jeunes filles.

Arrivée sur le carré, elle appliqua discrète-