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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 04.djvu/275

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nière course, milady, et je ne puis dire qu’il se soit rendu trop tôt… Ruby a distancé tout un escadron de horse-guards, sur ma foi !

— Et ne pensez-vous pas qu’il y ait à craindre encore ? demanda la princesse dont le beau front conservait sa pâleur.

Brian la reconduisit au sofa et s’assit auprès d’elle.

— Je vais vous conter cela, madame, dit-il d’un ton caressant et enjoué. — D’abord, afin de rendre mon aventure excusable, il faut que vous sachiez que, depuis trois jours, je cherche, dans Londres, un objet introuvable…

— Quel objet, milord ?