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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 04.djvu/280

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gardes à pied font incessamment le tour des terrasses. — Pourtant, madame, il fallait que j’arrivasse au pied même du château, au delà des fossés, dans cette belle pelouse où s’élève la grande serre japonaise. C’était de toute nécessité.

— Mais pourquoi, milord, pourquoi ?

— Vous le verrez, madame… franchir les barrières, c’était un jeu, grâce à mon brave Ruby… Pauvre Ruby !… Je suis parvenu sans encombre jusqu’au pied de la terrasse, dont me séparaient seulement encore le fossé et le revêtement… Ruby avait le pied sûr. Il est descendu dans le fossé ; moi, je suis monté debout sur la selle, et d’un bond, je me suis