Aller au contenu

Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 04.djvu/295

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


— D’un homme, oui, milord, répondit Susannah.

Brian lâcha sa main, Susannah referma le médaillon sur la fleur.

— D’un homme, beau, et noble et fier ! ajouta la princesse avec un charmant sourire : — d’un homme que j’aimais, milord, ardemment et de toute mon âme, du seul homme que j’aie aimé jamais.

— Et cet homme, madame, demanda Brian les dents serrées, — c’était ?…

— C’était vous, milord.