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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 04.djvu/67

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Elle s’affaissa, paralysée, auprès de sa sœur et mit sa tête dans son sein en râlant cette plainte suprême :

— Qu’avons-nous fait, mon Dieu ! pour mourir ainsi ?

Elle ne bougea plus.

— Stephen ! mon Stephen ! dit Anna qui entoura de ses jolis bras blancs le coude sa sœur endormie ; que Dieu est bon et que nous sommes heureux !…