Aller au contenu

Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 07.djvu/123

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


— Quoi ! monsieur, m’écriai-je avec indignation et dégoût, — oseriez-vous supposer ?…

— Le cœur humain, jeune homme, déclama M. Smith en nasillant, est un sépulcre blanchi… La chair est faible… et si vous ne voulez point vous conformer aux règles de ma maison, allez-vous-en coucher au clair de lune.

M. Smith salua gravement et se retira.

L’instant d’après, un valet apporta quelques rafraîchissements, auxquels Saunie, notre postillon, fit le plus grand honneur. Harriet et moi, nous touchâmes à peine aux mets qui nous furent présentés.