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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 07.djvu/148

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caravane, comme on voit les passants du haut de la lanterne de Saint-Paul lorsqu’on applique à son œil le gros bout de la longue-vue.

Certes, il y avait peu d’espoir.

Je pris ma course, néanmoins, les bras en avant, afin de ne me point briser du premier coup le crâne contre quelque saillie des parois inconnues du souterrain. Le sol de la galerie allait en descendant. Ma marche était rapide. En peu de temps, je crus m’apercevoir que les hommes marchant devant moi grossissaient sensiblement à l’œil.

Mon courage redoubla.

Mais à mesure que j’avançais, un bruit loin-