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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 07.djvu/178

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sourires de toutes ces belles femmes, et dans ces sourires, convergeant vers un but unique, il y avait quelque chose de craintivement adorateur. — Ainsi doivent faire, Stephen, les almées du harem, se disputant un regard du sultan.

On appelait cet homme Son Honneur.

Il répondait aux hommages de tous avec ce laisser-aller royal, apanage naturel du pouvoir absolu. Son sourire était courtois mais fier, et sa condescendance se mélangeait de hauteur.

Auprès de cet homme, sur le même siège et enlacée dans ses bras, il y avait une femme dont la toilette contrastait étrangement avec