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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 07.djvu/321

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tout autre cause. Elle craignait de nuire au marquis de Rio-Santo.

Elle avait révélé déjà le secret du marquis ; elle s’en repentait, parce que, si certaine qu’elle pût être de la droiture de Frank, elle redoutait une lutte où elle-même aurait fourni des armes contre l’homme qu’elle aimait. Devait-elle donc aller plus loin et sonner la charge en quelque sorte, et commencer elle-même les hostilités ?

Présentée sons cet aspect, la question était aisée à résoudre. Aux premiers mots de Frank, la comtesse se raidit et refusa.

Mais Frank avait sa leçon faite. Livré à lui-même, il n’eût été qu’éloquent et son procès