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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 08.djvu/167

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rien. C’est vous qui venez de vous trahir… Vous étiez si joyeuse naguère à ma venue ! Votre sourire était si franc et si heureux !… Aujourd’hui, vous m’accueillez par des larmes…

Il s’arrêta, puis reprit avec calme :

— C’est un grand malheur, madame !

— Quoi ! s’écria la comtesse désespérée, le danger est-il donc prochain, et votre vie ?…

— Ma vie ! interrompit Rio-Santo en souriant tristement ; — il ne s’agit pas de ma vie, madame… Mais n’était-ce pas assez de M. de Weber ?…